DOSSIER DE PRESSE


« L’Amour sorcier » – Jean-Marie Machado, Aïcha M’Barek et Hafiz Dhaou
Si, au début du spectacle, on entend le piano, on doute un instant dans la pénombre que ce soit joué en direct, les lumières d’Eric Wurtz laissent apparaître Jean-Marie Machado lui-même qui joue mesa voce pendant que les musiciens et les danseurs, qu’on ne distingue pas les uns des autres, entrent sur cette mer blanche. Lorsque les musiciens sont assis au centre dans ce cercle noir, commence la danse qui se signalera par de grandes courses en cercle, une poursuite haletante entre « amour, danse, rituel, nuit, mystère, envoûtement et songe ». Un ensemble de situations et de sentiments marqués par une musique enlevée et une voix chaude qui apportent à l’ensemble une humanité certaine
INFERNO, Emmanuel Serafini, 16 avril 2019

For 4 walls, de Petter Jacobson et Thomas calley, Ballet de Lorraine
Le titre de la proposition dansée, For Four Walls, se réfère sans ambiguïté à l’une des premières collaborations entre Cage et Cunningham, qui leur permit de clarifier et d'identifier leurs éléments de langage. Outre la qualité technique et chorégraphique de ce qui nous a été donné à voir, deux composantes de la pièce valent à elles seules le déplacement : la performance pianistique de la soliste Vanessa Wagner intégrée sur scène à la partition dansée ; et, le dispositif scénographique imaginé par Peter Jacobsson et Thomas Caley, à base de deux murs de miroirs à angle droit subtilement éclairés par Eric Wurtz qui démultiplient un corps de ballet au mieux de sa forme. De même que Cunningham se dégagea progressivement, après Four Walls, de l’empreinte et de la technique Martha Graham, Peter Jacobsson et Thomas Caley s’affranchissent de celle de Merce, qui fut l’un de leurs maîtres.
Nicolas Villodre, 28 mai 2019

Gustavia, La Ribot et Mathilde Monnier
En Gustavia la revisión de 2018 es rigurosa y literal. No han cambiado muchas cosas, pero en la Sala Verde de Teatros del Canal se ha visto muchísimo mejor que en el modesto palco anterior. El poderoso alzado de las cortinas negras ideadas Annie Tolleter, la luz poética y efectiva de Eric Wurtz, el cuidado vestuario de Dominique Fabrègue enmarcan y redondean un elegante trabajo donde la intensidad no quita lo valiente de estas mujeres, verdaderas heroínas de su tiempo y de la epopeya, siempre a salto de riesgo, del arte de la danza.
EL PAIS, Roger Salas. 5 Mars 2018



OSCYL, de Héla Fattoumi et Eric Lamoureux
La difficulté de l’entreprise n’est pas que d’ordre technique. L’automatisme, le balancement, la gravitation, peuvent, à la longue, lasser. Et le partenaire de jeu, le cavalier pour grand échiquier, le valseur manchot, devenir des boulets. Ce n’est pas ici le cas. Il faut dire que les tenues fringantes de Gwendoline Bouget, les boucles sonores du mix in situ produit à l’aide du séquenceur Ableton Live par Éric Lamoureux, les éclairages impeccables, efficaces et sagaces d’Éric Wurtz contribuent à animer, au sens propre, les baigneurs.
Mouvement, Nicolas Villodre. 18 Septembre 2017


Record of ancient things, de Petter Jacobsson et Thomas Caley Ballet de Lorraine.
Les deux directeurs – chorégraphes proposaient Record of ancient things, une création de quarante minutes pleine d’énergie où les vingt danseurs de la Compagnie dispensent avec un engagement rare une danse bondissante dont les douze premières minutes sont faites de sauts manifestant épuisants à exécuter. Deux très bonnes idées de cette pièce, outre ces costumes chatoyants et bigarrés, c’est d’une part d’avoir pendrillonné la scène à l’italienne mais avec des taps en plastique transparents et d’autre part d’avoir confié les lumières à Eric Wurtz qui, une fois de plus, transforme la scène en un écrin scintillant de toute beauté.
Inferno, Emmanuel Serafini. 3 juillet 2017



ERIC WURTZ
« Il nous reste l'énergie critique de la scène »
http://maculture.fr/entretien/eric-wurtz/

Pause estivale pour certains, tournée des festivals pour d’autres, l’été est souvent l’occasion de prendre du recul, de faire le bilan de la saison passée, mais également d’organiser celle à venir. Ce temps de latence, nous avons décidé de le mettre à profit en publiant tout l’été une série de portraits d’artistes. Figure établie ou émergente du spectacle vivant, chacune de ces personnalités s’est prêtée au jeu des questions réponses. Ici le créateur lumière Eric Wurtz.


Depuis plus de trente ans, le créateur lumière Eric Wurtz collabore avec de nombreux chorégraphes parmi lesquels Lucinda Childs, François Chaignaud et Cecilia Bengolea, Bouchra Ouizgen, Philippe Decouflé, La Ribot, Salia Sanou et Mathilde Monnier sur l’ensemble de ses créations. Cette saison, il a notamment signé les lumières de Chance, Space and Time d’Ashley Chen, Another Distinguée de La Ribot, El Baile de Mathilde Monnier et Alan Pauls, et Record of Ancient Things de Petter Jacobsson et Thomas Caley à l’Opéra National de Lorraine à Nancy.


Quel est votre premier souvenir de théâtre ?


Au lycée, la professeur de français qui nous fit assister au spectacle Têtes rondes et têtes pointues (1973) de Bertolt Brecht mise en scène par Bernard Sobel au Théâtre de Gennevilliers. Décisif. Je suis d’ailleurs persuadé de l’importance de ce travail d’élargissement des publics qui passe par les institutions. Enfant, la fréquentation de la Maison de la culture du Havre ainsi que d’un atelier d’art plastique, puis durant mon adolescence d’une maison des jeunes et de la culture ont participé à l’éveil de ma sensibilité. C’était les grandes heures de l’éducation populaire. Il se trouve que je dois à André Malraux, une bonne part de l’ouverture de mon imaginaire.


Quels spectacles vous ont le plus marqué en tant que spectateur ?


Il y a des moments saillants et révélateurs dans mon parcours de spectateur : La Classe Morte (1975) de Tadeusz Kantor au Centre Pompidou, inoubliable et fondateur, le choc du « Théâtre de la mort ». Cafe Müller (1978) de Pina Bausch, pour l’irruption du vivant.
« On ne danse jamais assez » disait-elle. Hamlet, A monologue (1995) avec et mise en scène par Robert Wilson, pour la maitrise de tous les éléments de l’acte scénique. Dance (1979) de Lucinda Childs : pure jubilation de la complexité, de la fluidité du mouvement et de la relation avec l’image projetée. La mort de Tintagiles (1997) mise en scène par Claude Régy, : la leçon de ténèbres. Golgotha (2009) de Steve Cohen, pour l’engagement au delà des limites et la rigueur plastique.


Quel est votre souvenir le plus intense lié à la création d’un projet ?


La création de Frère et Sœur de Mathilde Monnier dans la Cour d’honneur du palais des Papes. Les dimensions exceptionnelles permettant à la lumière d’exprimer toute son amplitude et sa puissance. La charge historique de cet espace et le contexte pour le moins violent du festival d’Avignon en 2005, révélateur du conservatisme de la critique.


Quelle rencontre artistique a été la plus importante dans votre parcours ?


Elles furent multiples. J’ai commencé mon activité dans un collectif de danseurs appelé Lolita. Le fonctionnement non hiérarchique et expérimental du collectif m’a permis d’appréhender l’éclairage et la performance, libre de tout académisme. Puis avec la chorégraphe Mathilde Monnier : 30 ans de collaboration tout de même. La possibilité de développer une esthétique singulière, de mener une sorte de dialogue concret avec les scénographies d’Annie Tolleter, en pensant l’éclairage comme dispositif en lien avec le propos des oeuvres. Par ailleurs, nous sommes faits de la pluralité de notre parcours, du foisonnement de nos expériences et de certaines incursions dans d’autres domaines que celui du spectacle vivant.


Quelles oeuvres composent votre panthéon personnel de l’histoire de la danse ?


The Mind is a Muscle d’Yvonne Rainer, In the Middle, Somewhat Elevated (1987) de William Forsythe, Dance (1979) de Lucinda Childs et Sounddance (1975) de Merce Cunningham.


Quels sont les enjeux du spectacle vivant aujourd’hui ?


Face à la dématérialisation généralisée du monde, préserver une exception symbolique, vécue collectivement. À la proximité absolue de la chose vue, et à l’enfouissement du regard dans l’écran de la vision, il nous reste l’énergie critique de la scène.


À vos yeux, quel rôle doit avoir un artiste dans la société aujourd’hui ?


L’art est vital pour l’homme, il dénoue les chaînes de l’ordre utilitaire et économique et exerce une force contre la culture de masse. La création est en chacun de nous permanente, et à l’instar de Martin Heidegger « nous devons donner au mot art une nouvelle teneur, en commençant par regagner une position fondamentale par rapport à l’être ».

Par Wilson Le Personnic
Publié le 25/07/2017



ENTRETIEN : Le portail de la lumière et de l'éclairage :
http://www.lightzoomlumiere.fr/sur/eric-wurtz/


Otoff
, de Bouchra Ouizguen
Les lumières d’Eric Wurtz font magnifiquement basculer les images d’un univers à l’autre avec violence mais cohérence pour tout mélanger : le sacré, le populaire, l’impie, le tribal… la scène devient un autre monde, moins normé, plus complexe et contradictoire donc plus humain, plus plein.
Bruno Paternot, Inferno Magazine, 29 juin 2015

Le sujet de « Otoff » l’amour ou plus exactement cet enfoiré d’amour. Le décor : les lumières d’Eric Wurtz qui suffisent à créer des mondes et flirtent intrépides avec l’obscurité. La bande-son une fugue du polonais Lutoslawski. Le reste est affaire d’imagination.

Céline Piettre , l’Oeil, septembre 2015


Les Inquiets et les brutes
De Nis-Momme Stockman
Mise en scène d'Olivier Martinaud
(...) C'est ce qu'induit subtilement le travail de plateau d'Olivier Martinaud, généreusement appuyé sur deux interprètes à la hauteur, à la redresse, qui ne cèlent rien de l'énigme sous-jacente en même temps qu'ils font mine de tourner autour. Grand plaisir d'intelligence, face à la révélation de cette dramaturgie de l'allusion percutante, qui conduit à la fin vers une manière de désespoir tonique, sous les lumières - de grande maîtrise avec les moyens du bord - que signe Éric Wurtz.(...)"
Jean-Pierre Léonardini / L'Humanité
27 avril 2015

France Culture, Les carnets de la création

1er janvier 2015
http://www.franceculture.fr/emission-les-carnets-de-la-creation-eric-wurtz-createur-lumiere-2015-01-01


EL triunfo de la Libertad
De La Ribot, Juan Dominguez, Juan Loriente
Cela va de la délicate et puissante création lumières d'Éric Wurtz, à la suggestion, par ce biais, d'un arrière scène et d'un accès afférant ; de la découpe orchestrée des durées et vitesses de déroulé du texte donné à lire, à la sensation de vaste espace collectivement investi par le regard spectateur, et ses projections imaginaires. À la longue, un trouble léger s'installe, qui parfois procure l'illusion que les supports de prompteurs sont en train de voyager doucement par la voie des airs, que les parois reflètent ; et c'est une douce chorégraphie.
Mouvement, Gerard Mayen, 17 décembre 2014
http://www.mouvement.net/critiques/critiques/enfin-un-theatre-sans-acteurs



Clameur des Arènes, de Salia Sanou
Sur la scène transformée en une arène avec un décor sobre et rouge fait de sacs entassés pour dresser un mur de fond (belle scénographie de Mathieu Lorry-Dupuy et lumières impeccables d’Eric Wurtz), les huit interprètes auxquels il faut ajouter les quatre musiciens chanteurs réunis autour d’Emmanuel Djob, guitariste et baryton et de son gospel rauque mais sûrement pas pleurnichard, se livrent à une danse d’ensemble où la force s’expose sans complexe.
Libération, Marie Christine Vernay, 16 Octobre 2014
http://www.liberation.fr/theatre/2014/10/16/salia-sanou-met-le-fogo_1123289



Relâche, De Francis Picabia.
Reprise 2014 Chorégraphie : Petter Jacobsson et Thomas Caley.
Relâche est de ces pièces qui pourtant nous regardent. Au moins une image d'elle observe imperturbablement nos mémoires : soit le mur-rideau de plus de cinq cent cymbales, montant jusqu'aux cintres du fond de scène, renvoyant autant de rétro-lumières vers le public, animées et parfois aveuglantes, au top des avancées technologiques d'alors. Créateur lumières, Eric Wurtz aura su déchaîner de nouvelles puissances fluctuantes à partir de cet antique modèle.
http://www.mouvement.fr/critiques/critiques/le-ballet-qui-a-oublie-detre-bete
Mouvement, Gérard Mayen, 19 mars 2014



BodyDuet (Chorégraphie John Scott)
This is also reflected in the stereo-panning soundscape by Blackfish (James Everest and Joel Pickart) and Eric Würtz's lighting design which dramatically pits a cluster of overhead lights in one corner of the stage against a bank of floor lights diagonally opposite.
The Irish Times, Micheal Seaver, 29 février 2012



Influx controls : I wanna be wanna be(Chorégraphie Boyzie Cekwana)
En un silence uniquement rythmé par les fondus lumineux du maestro Eric Wurtz...
Paris-Art.com, Nicolas Villodre, 28 mai 2010



Gustavia (Chorégraphie Mathilde Monnier et Maria la Ribot)
La primera escena de las plañideras pone ya sobre el tapete los acentos de humor y gesto. Se puede pensar en Marceau y en Keaton, pero estas dos anti-heroínas, calzadas cismáticas y con una casi angustiosa respiración quijotesca, avanzan hasta envolver al espectador escéptico en la iluminación abisal.
El Pais, Roger Salas, 20 février 2009

The black costumes, the black set stage and the filming lighting by Eric Wurtz form a conection with silent movies.
Ballet Danz, Thomas Hahn, 2008



Next to skin (Chorégraphie John Scott)
Regular collaborator Eric Wurtz provides a lighting design that is everyway unpredictable as the choregraphy, with galaring washes of oranges and reds, pulsing spotlights on the blackwalls, and even lights focused on the gantry. These warm tones soften the austerity of the dancers’high-pitched screams and twitches...
The Irish Times, Michael Seaver, 22 mars 2008



2008 Vallée (Mathilde Monnier et Philippe Katerine)
2008 vallée cosigné par la chorégraphe Mathilde Monnier et le chanteur Philippe Katerine est une extension de son dernier album , Robots après tout, et du clip afférent. Les deux complices, rejoints par d’autres ( les danseurs, le plupart issus de la formation Exerce mise en place à Montpellier, la scénographe Annie Tolleter, Eric Wurtz aux lumières et Dominique Fabrègue aux costumes.
Libération, Marie-Christine Vernay, 19 mai 2006



Frère et sœur (Chorégraphie Mathilde Monnier)
Quand à la lumière d’Eric Wurtz, très urbaine, presque conçue pour un match de football, elle est aussi parfaitement réglée.
Libération, Marie Christine Vernay, 22 juillet 2005


Slide (Chorégraphie Mathilde Monnier)
Les lumières d’Eric Wurtz, musicales, chorégraphiées, du grand balayage à l‘éclairage de la marge, la musique d’Erikm, pianistique, refermant le spectacle en l’ouvrant sur un possible concert de rock, sont aussi des partitions, à prendre séparément ou à lire avec la danse.
Libération ,Marie-Christine Vernay, 26 sept 2003



RVB 21 (Chorégraphie Nicolas Le Riche)
Nicolas Le Riche crée un climat et compose d’intéressant groupe dissymétriques, des solos remarquables, trop bref même, sous d’excellents éclairages d’Eric Wurtz.
Le Figaro, René Sirvin, 16 mai 2001



Les lieux de là (Chorégraphie Mathilde Monnier)
Des lumières dorées éclairent jambes et bras nus. Elles humanisent un travail qui puise aux danses chorales des années 20. Les ombres géantes des danseurs couvrent le mur du fond, accentuant cette glorification du corps jusqu’à la caricature.
Le Monde, Dominique Frétard, 27 juillet 1999

Il n’y a pas vraiment de décor : le tapis de danse est noir, mat ou brillant selon la lumière, jamais en repos, d’Eric Wurtz, véritable partenaire.

Libération, Marie-Christine Vernay,
2 décembre 1999



Petites pièces montées (Chorégraphie Philippe Decouflé)
Tout cela parce que ce farceur, qui aime autant la danse que la comédie ou le cirque, adore truquer des machines à rêves. Et sait s’entourer d’une équipe adéquate. Tel Philippe Guillotel le costumier qui en fait parfois un peu trop, mais toujours dans une originalité exubérante. Tel Joseph Racaille pour la musique originale, Eric Wurtz qui signe des jeux de lumière admirables et la complice du metteur en scène Pascale Henrot.
France Soir, Ariane Dollfus, 11 janvier 1994

La lumière d’Eric Wurtz métamorphose les corps. Il est de mèche avec le chorégraphe pour se jouer de nos perceptions. Ensemble ils n’arrêtent pas de nous « faire marcher ».
Le Monde, Dominique Frétard, 30 novembre 1993

Le décor de six tonnes est signé Jean Rabasse, les costumes sont de l’éternel et remarquable Philippe Guillotel , les éclairages exceptionnels d’Eric Wurtz.
ELLE, Philippe Trétiack, Novembre 1993



Face nord (Chorégraphie Mathilde Monnier)
Il s’élargit à l’échelle de toute la compagnie, lorsqu’un plein feu de l’éclairagiste Eric Wurtz embrase une sorte de danse du Poitou qui pousse l’ambiance jusqu’au paroxysme.
Libération, Marcelle Michel, octobre 1991



Dérives (Mise en scène Philippe Genty)
Rene aubry’s soundtrack and Eric Wurtz’s lighting design are integral components of the sensual and meditative quality of Derives.
The Australian, Rosemary Neille, 2 janvier 1991

The lighting designer, Eric Wurtz, is really the master of the revels, for most of the effects rely of the use of a deep black out.
The Financial Times, Lyyn Mac Ritchie, 26 septembre 1991



Sur le Champ
(Chorégraphie Mathilde Monnier)
Dans un univers aussi impressionniste, où l’éclairagiste Eric Wurtz s’en donne à cœur joie dans les clairs-obscurs et les effets translucide de pâte de verre, la danse est l’élément déterminant pour la cohésion du spectacle.
Libération, Marcelle Michel, 30 juillet 1990 Même expressivité, pour ne pas dire même expressionisme, au sens le plus cinématographique du terme, chez Eric Wurtz, éclairagiste doué de Mathilde Monnier, Jean-François Duroure et Philippe Decouflé. Chez les deux premiers, il a su trouver un registre volontiers dramatique, chez l’autre infléchir son style vers plus de légèreté et d’humour.
Chantal Aubry, Pour la danse,
Janvier 1990



Cosmono nox (Chorégraphie Jean-Francois Duroure)
Peu importe, Les belles lumières d’Eric Wurtz, dans lesquelles ont s’épuisent à suivre d’improbables aurores et de douteux crépuscules achèvent de nous désorienter.
Le Monde, Sylvie de Nussac,
11 janvier 1990



Pudique acide et Extasis (Chorégraphie Mathilde Monnier et Jean-François Duroure)
Eric Wurtz’s lighting changes. Mr Duroure look glum, Miss Monnier sharp featured. They bounce into each other and launch into a continuum of twisting and convoluted entanglements.
The New York Times, Anna Kisseldoff,
4 octobre 1987



Mort de rire (Chorégraphie Mathilde Monnier et Jean-François Duroure)
No se rehuyen los effectos teatrales tradicionales, de cuya utilizacion parecen querer prescindir tanto los vanguardistas; por el contrario, tanto la ambientancion musical como la escenographia y, sobre todo , la extraordinaria illuminacion constituyen un apoyo fundamental para la excelente ejecucion de todo los interpretes.
La Vanguardia, Marjolijn Van der Meer,
8 may 1987

Le spectacle est en principe une création collective où interviennent largement les lumières d’Eric Wurtz, maître dans l’art du trompe l’œil, et la scénographie très présente de Béatrice Scarpatto.
Le Monde, Marcelle Michel, 14 avril 1987 La bande lumière-sublime éclairage d’Eric Wurtz, — tantôt blafards, tantôt violents – est elle aussi extraordinairement vivante et présente, en symbiose étroite avec les sons et la danse.
Le Monde, Sylvie de Nussac, 4 décembre 1987



Pudique acide, Extasis (Chorégraphie Mathilde Monnier et Jean-François Duroure)
Tout cela est tendre, impertinent, bouffon, rigoureusement réglé dans des lumières d’Eric Wurtz.
Le Monde, Marcelle Michel, 23 novembre 1985